La «taxe» de la désinformation

Présenter les revendications afin d’adapter les politiques culturelles canadiennes de manière à garantir que les dollars que nous dépensons retournent dans la production d’ici comme une prétendue « taxe » procède au mieux de la désinformation. Les réglementations appliquées à ce jour aux entreprises qui tirent des revenus de la consommation que les Canadiens font des oeuvres musicales, dramatiques ou des informations et nouvelles ne sont pas des taxes. Ce sont plutôt des obligations réglementaires destinées à faire en sorte que le public canadien puisse bénéficier d’un véritable choix. C’est la contrepartie à payer par ces entreprises qui font usage de ressources appartenant à l’ensemble des Canadiens.

Ce contenu a été mis à jour le 09/20/2017 à 11:52 AM.