Des élus veulent savoir si le SVPM utilise la reconnaissance faciale

«C’est à la condition d’une transparence adéquate que le public aura confiance dans les institutions qui font usage de ces technologies, a fait valoir Pierre Trudel, professeur titulaire à la Faculté de droit de l’Université de Montréal. Autrement dit, si les services de police ou d’autres organisations ne prennent pas les précautions nécessaires pour garantir une plus grande transparence, ça risque d’engendrer un déficit important de confiance.»

Ces technologies sont utiles dans des enquêtes policières, a relevé M. Trudel. Néanmoins, des mécanismes indépendants de reddition de comptes sont nécessaires.

Ce contenu a été mis à jour le 08/07/2019 à 10:37 AM.